Parcours Un crayon à la main depuis toujours, du portrait des copains au lycée à ceux de femmes et d’enfants d’après des photographies de globe trotter (Reza, Dominique Vallière, Jean Dieuzaide…) en passant par l’école des Beaux Arts de Castres (pour la sculpture)et les cours d’artistes talentueux dans une association (pour la gravure à l’eau forte, le dessin à la sanguine en particulier), je suis arrivée au raku pour réunir enfin les quatre éléments de la nature : la terre, l’eau, l’air et le feu.
Elle aime La nature, la nature humaine (visages de femmes protégeant leur enfant), celle qui pousse dans mon jardin et que je pose sur ma table à dessin pour la faire devenir modèle presque vivant, celle que je modèle (terre raku) et que je soumets à l’épreuve du feu. La nature qui s’offre aux regards et celle qu’il faut découvrir dans un tout petit détail, qui deviendra œuvre abstraite.
Son truc En céramique raku, chaque pièce est unique, puisque modelée à a main. Les formes sont « cocons », « boules à caresser » qui ne sont jamais parfaitement lisses. Peu de couleur et beaucoup de place au dessin noir qui donne du mystère à chaque pièce. Des éclats de raku se retrouvent parfois dans un tableau, parmi des collages d’éléments naturels. Tout se mêle toujours, dans la nature et dans mes réalisations.
Elle maîtrise L’assemblage de matériaux en collage pour devenir estampes. Peinture acrylique Modelage et cuisson raku au feu de bois