Parcours En 2010 elle intègre l’école de photographie de Toulouse en tant que praticienne, ce qui l’amène, après avoir expérimenté la photographie numérique, surnuméraire par sa pratique, dématérialisée par sa forme, à revenir vers l’utilisation de matériel argentique et permettre le retour vers l’objet, sa matière première.
Elle aime L’odeur de chimie dans le labo de son père, l’appareil photo de celui-ci et puis très vite le sien. Ses premières images de flacons de shampoing sur fond rouge, un avion au loin… ses premières références. Ensuite ce seront les photographes humanistes des années 30-60 suivies plus tard par Weegee, Eggleston, Martin Parr, Mickael von Graffenried, Petersen, Klein entre autres.
Son truc Elle définit sa démarche photographique comme « Sociale Polémiste ». Une approche qui passe par le rapport aux objets comme premiers interlocuteurs sensibles : celui qui nous positionne, celui qui symbolise, celui qui balise l’histoire individuelle ou collective. Elle photographie le corps comme objet originel et l’objet comme témoin par le biais d’une interrogation toujours active sur notre propre évolution personnel ou sociétale.
Elle maitrise Son cadrage et ses appareils photos
Localisation : Teyssode