Son parcours Avec une formation de styliste modéliste en maroquinerie et une sensibilité aux arts, c’est d’abord par l’initiation à la musique classique qu’elle expérimente le monde des fréquences sonores. Interpellée dès l’âge de 7 ans par les œuvres de Delaunay, Monet, Vincent van Gogh, Kandinsky, Katsushika Hokusai, Zao Wou Ki et autres artistes sans compter les peintres aborigènes, elle sentait en elle résonner les vibrations des couleurs et la morphogénèse du vivant. Son travail reflète l’intuition d’un « tout est lié » et représente par un symbolisme universel son interprétation onirique et mythologique des liens subsistants entre l’homme et la nature.
Médium : Papier marouflé sur bois, encres, pigments, poudres de métal, de nacre ou de mica liés avec un vernis en couches successives.
Créations numériques : Logiciels de traitement d’images et 3D.
Elle aime les pensées arborescentes et une sensibilité exacerbée liée à un type de synesthésie ; chacune de ses peintures est une forme d’interprétation en strates et en rythmes colorés, englobant un rapport sensible à la nature, une mémoire consciente et inconsciente du vivant, un impact lié aux comportements de l’homme dans l’environnement, une conscience de l’impermanence sur une planète dont les ressources sont finies.
Son truc Le point, les strates, l’iridescence, la transparence, les formes organiques inspirées par la diversité biologique, l’expression aborigène. La structure de l’univers dite lacunaire, la turbulence des fluides, la morphogénèse, la cymatique, le « langage » des couleurs, la bioluminescence, les fractales, le symbolisme élémentaire et la nature. La forme est un son « coagulé », le corps un corps de résonnance. Ceci faisant référence aux travaux de recherche De Hans Jenny et d’Alexander Lauterwasser sur les figures acoustiques poétiquement nommées Harmonie et créations vibratoires universelles.
Elle maitrise les couleurs, l’iridescence, le glacis.
Localisation : Lisle-sur-Tarn